De la colle, des ciseaux et du papier… au Big Data

De la colle, des ciseaux et du papier… au Big Data

Le monde tourne autour des marques. La plupart cherchent à se créer une identité basée sur une certaine idée du luxe, de la beauté ou du bien-être.

Bien qu’elles revêtent des réalités différentes, elles reposent toutes sur quelques mots-clés. Les entreprises qui se trouvent derrière les marques voudraient souvent y voir plus clair dans le flot d’informations continu que déversent les médias chaque jour à leur propos. Une société les y aide : Auxipress.

Littéralement «l’auxiliaire de la presse», Auxipress, par son expertise en media et data, offre un service de veille media aux sociétés qui désirent passer tous les journaux et autres médias au peigne fin pour ne garder que l’information qui leur sera utile afin de se positionner sur leur marché de prédilection. Qu’il soit de l’énergie, de l’automobile, ou même de Noël, Auxipress gardera un œil sur tout ce qui concerne l’entreprise, l’événement en question, ou encore le secteur.

La société est née en 1919, il y a tout juste 100 ans. Plus tard, l’homme qui se trouve actuellement à la tête de la société, Joachim von Beust, en fera une entreprise familiale. C’était au temps où Brel était client.

En septembre 1994, Béa a rejoint la société dans le service Lecture: «Nous travaillions dans un lieu enfumé sur des sortes de tables d’architectes remplies de magazines papier» nous dit-elle. A l’époque, une dizaine de découpeuses, armées de leurs ciseaux et de leur colle, s’attelaient chaque jour à couper des articles qui avaient auparavant été sélectionnés par les lecteurs. Les méthodes ont bien changé depuis mais l’outil indispensable des lecteurs reste leurs yeux affûtés. Cindy se rappelle d’ailleurs la formation de trois mois qui était nécessaire pour les nouveaux dont elle faisait partie… il y a 25 ans.

Dans le service Analyse, qui permet aux clients de savoir comment l’information est perçue, Virginie, maintenant Analyses Operations Manager, a 26 ans de carrière. Elle nous partage son meilleur souvenir; celui d’un voyage d’affaires qui l’a menée à Wattens en Autriche pour y rencontrer un client, une autre entreprise familiale située au milieu des montagnes.

Les entreprises familiales n’ont en tout cas rien à envier aux grandes sociétés «où les processus de décision sont longs» selon Christophe, actuel CEO, qui a rejoint Auxipress en 1998. Il estime que les entreprises familiales peuvent souvent se targuer d’une grande fidélité du personnel, comme les exemples ci-dessus l’illustrent, et que l’accent y est mis sur les talents en interne.

Bien sûr, la technologie a permis à Auxipress de rester à la page des journaux compulsés 24h/24. Mais son succès, l’entreprise le doit aussi à ses employés, pour la plupart trilingues, et qui ont pu évoluer avec leur temps et les innovations mises en place par la direction, comme cette newsroom créée il y a quelques semaines. Destinée à encourager les synergies entre les différentes équipes et mettre en commun les savoirs de chacun, elle permet d’aborder des sujets tels que l’impact d’un événement, ou la résonance que trouvera un mouvement politique auprès du grand public. Dans la newsroom, on discute, on partage, mais surtout on anticipe.

C’est sans doute cela la plus grande force de la société. Lors du dernier forum économique de Davos, Manpower laissait entendre que la compétence du futur sera la learnibility, ou la capacité de chacun à apprendre et se former en permanence. Si les experts disent vrai, il y a fort à parier que les entreprises familiales gagneront en importance dans les années à venir. Le statu-quo n’est plus une option désormais. Bientôt, les marques devront s’adapter aux consommateurs et à leurs nouvelles exigences en matière de traçabilité, de juste rémunération aux producteurs et d’écologie. Il ne fait aucun doute qu’Auxipress est prête pour le monde de demain, celui où les marques tourneront autour du monde.

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