Récemment, Joachim Deman et Arno Creve nous ont rendu visite. Nous avons discuté de leur agence boutique de relations publiques et de communication, de l'IA et de l'essence des relations publiques journalistiques.
Comm2You est active depuis un an et demi et peut se targuer de clients tels que DELA, Acerta, vdk bank et Mensura. La sous-marque Comm2Sports est axée sur le secteur sportif, travaillant pour des organisations telles que la Fédération sportive flamande, Voetbal Vlaanderen et Badminton Vlaanderen. Une autre sous-spécialisation pourrait être ajoutée bientôt. Comm2You gère la communication pour les PME, les grandes entreprises et les ONG, mais n’accepte pas toutes les missions.
Comment vous distinguez-vous des autres agences de relations publiques ?
Joachim Deman, Directeur général : Chez Comm2You, nous visons à nous différencier par notre spécialisation en relations publiques journalistiques. Nous abordons la communication comme le ferait un journaliste ou une équipe de rédaction. Cela garantit que nos communications ont une chance d’être publiées dans la presse. Nous nous différencions également sur le plan budgétaire, car nous ne nous engageons que dans des communications ayant une chance réaliste de succès.
Avec les partenaires Arno Creve, Bert Bouserie et Joost Freys, je suis fier de notre croissance rapide en si peu de temps. Cependant, nous choisissons consciemment de rester une petite agence de boutique, exclusivement composée de profils seniors. Des conseils en communication rapides, personnels et directs : voilà notre gage de qualité.
Quels sont, selon vous, les plus grands défis des relations publiques aujourd’hui ?
Parfois, l’essentiel se perd. Nous ne cherchons pas à être une agence interne tout-en-un à 360 degrés ; nous nous concentrons sur notre spécialisation et notre expertise. Pour d’autres tâches, telles que la création de campagnes marketing créatives ou la production de contenu visuel captivant, nous préférons collaborer avec des partenaires solides. L’essentiel, ce sont les relations publiques qualitatives : raconter des histoires sociétales pertinentes. C’est là que réside la valeur ajoutée.
Comment l’intelligence médiatique peut-elle aider à cet égard ?
Il est utile de savoir quels sujets sont actuellement sous les feux des projecteurs médiatiques. Nous ne voulons pas orienter nos clients sur la base de conjectures, mais sur des données. Auxipress a une excellente réputation à cet égard. Nous avons tous travaillé avec vous par le passé. Auxipress est un nom qu’il est impossible d’ignorer en matière de surveillance.
Comment envisagez-vous l’avenir des relations publiques ?
Savoir, c’est pouvoir. En tant que société, nous avançons à grands pas en la matière. Les technologies progressent plus vite que jamais. L’IA n’est pas encore sans défaut, mais elle ne fera que s’améliorer, ce qui est excitant. Il y a d’énormes opportunités, notamment en matière de surveillance et de positionnement d’une entreprise dans les médias. Cependant, la décision sur quelle action entreprendre en fonction de ces données doit encore être prise par des humains. L’IA est loin de prendre cette décision pour nous dans un avenir proche.
